jeuxvideo.com
Jeuxvideo.com, désormais connu sous le nom de JV, est un pilier de l'actualité vidéoludique en France depuis sa création en 1997. Initialement une simple plateforme dédiée aux passionnés de jeux vidéo, il s'est progressivement imposé comme une référence incontournable dans le domaine, évoluant au fil des années pour s'adapter aux mutations du secteur et aux attentes de sa communauté.
À ses débuts, Jeuxvideo.com se concentrait principalement sur l'actualité des jeux vidéo, proposant des tests, des previews, des bandes-annonces et des articles d'opinion. Le site était un lieu de rencontre pour les gamers, qui pouvaient y discuter de leurs passions, partager leurs impressions sur les derniers titres sortis et échanger des astuces. Au fil du temps, la couverture éditoriale s'est étoffée, abordant des sujets plus variés tels que le matériel informatique, les consoles de jeux, les jeux mobiles et même la pop culture.
L'une des forces de Jeuxvideo.com a toujours été sa communauté active. Les forums, véritable cœur battant du site, ont permis aux utilisateurs de créer des liens, de partager leurs connaissances et de participer à des débats animés. Cette dimension sociale a contribué à forger l'identité de Jeuxvideo.com et à en faire un espace unique dans le paysage numérique francophone.
En 2021, Jeuxvideo.com a opéré un virage stratégique en adoptant une nouvelle identité visuelle et en élargissant encore davantage sa couverture éditoriale. Le site est devenu JV, avec l'ambition de devenir une plateforme de référence pour tous les passionnés de technologie et de culture populaire. Cette évolution s'inscrit dans un contexte où les frontières entre les différentes sphères de l'entertainment se brouillent de plus en plus.
Aujourd'hui, JV propose un contenu riche et varié, allant des tests de jeux vidéo aux analyses de séries TV en passant par les dernières tendances en matière de hardware. Le site s'adresse à un public large, des joueurs occasionnels aux gamers les plus exigeants. Si la communauté reste au cœur du projet, JV s'efforce également de produire un contenu de qualité, écrit par des journalistes passionnés et compétents.
Toutefois, ce virage éditorial n'a pas été sans susciter des critiques. Certains puristes regrettent la perte de l'identité originelle de Jeuxvideo.com et déplorent un certain manque de profondeur dans certains articles. Une enquête publiée par Arrêt sur images en 2024 a d'ailleurs mis en lumière les tensions internes liées à cette nouvelle orientation éditoriale, soulignant notamment l'influence croissante des impératifs commerciaux sur le contenu publié.
En dépit de ces débats, JV reste un acteur majeur de l'actualité vidéoludique en France. Le site bénéficie d'une notoriété solide et d'une audience fidèle. Il continue d'évoluer et de s'adapter aux mutations du secteur, tout en cherchant à préserver son identité et à répondre aux attentes de sa communauté.
En résumé, Jeuxvideo.com, devenu JV, est bien plus qu'un simple site d'actualité vidéoludique. C'est un véritable écosystème numérique qui a accompagné l'évolution du jeu vidéo en France depuis plus de deux décennies. Son histoire est marquée par une communauté passionnée, une adaptation constante aux nouvelles technologies et une volonté de couvrir un spectre toujours plus large de l'actualité numérique.
À ses débuts, Jeuxvideo.com se concentrait principalement sur l'actualité des jeux vidéo, proposant des tests, des previews, des bandes-annonces et des articles d'opinion. Le site était un lieu de rencontre pour les gamers, qui pouvaient y discuter de leurs passions, partager leurs impressions sur les derniers titres sortis et échanger des astuces. Au fil du temps, la couverture éditoriale s'est étoffée, abordant des sujets plus variés tels que le matériel informatique, les consoles de jeux, les jeux mobiles et même la pop culture.
L'une des forces de Jeuxvideo.com a toujours été sa communauté active. Les forums, véritable cœur battant du site, ont permis aux utilisateurs de créer des liens, de partager leurs connaissances et de participer à des débats animés. Cette dimension sociale a contribué à forger l'identité de Jeuxvideo.com et à en faire un espace unique dans le paysage numérique francophone.
En 2021, Jeuxvideo.com a opéré un virage stratégique en adoptant une nouvelle identité visuelle et en élargissant encore davantage sa couverture éditoriale. Le site est devenu JV, avec l'ambition de devenir une plateforme de référence pour tous les passionnés de technologie et de culture populaire. Cette évolution s'inscrit dans un contexte où les frontières entre les différentes sphères de l'entertainment se brouillent de plus en plus.
Aujourd'hui, JV propose un contenu riche et varié, allant des tests de jeux vidéo aux analyses de séries TV en passant par les dernières tendances en matière de hardware. Le site s'adresse à un public large, des joueurs occasionnels aux gamers les plus exigeants. Si la communauté reste au cœur du projet, JV s'efforce également de produire un contenu de qualité, écrit par des journalistes passionnés et compétents.
Toutefois, ce virage éditorial n'a pas été sans susciter des critiques. Certains puristes regrettent la perte de l'identité originelle de Jeuxvideo.com et déplorent un certain manque de profondeur dans certains articles. Une enquête publiée par Arrêt sur images en 2024 a d'ailleurs mis en lumière les tensions internes liées à cette nouvelle orientation éditoriale, soulignant notamment l'influence croissante des impératifs commerciaux sur le contenu publié.
En dépit de ces débats, JV reste un acteur majeur de l'actualité vidéoludique en France. Le site bénéficie d'une notoriété solide et d'une audience fidèle. Il continue d'évoluer et de s'adapter aux mutations du secteur, tout en cherchant à préserver son identité et à répondre aux attentes de sa communauté.
En résumé, Jeuxvideo.com, devenu JV, est bien plus qu'un simple site d'actualité vidéoludique. C'est un véritable écosystème numérique qui a accompagné l'évolution du jeu vidéo en France depuis plus de deux décennies. Son histoire est marquée par une communauté passionnée, une adaptation constante aux nouvelles technologies et une volonté de couvrir un spectre toujours plus large de l'actualité numérique.
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| Adresse | https://www.jeuxvideo.com/ |
|---|---|
| Propriétaire | Webedia |
| Rédacteur en chef | Fabien Metsa (rédacteur en chef adjoint) |
| Lancement | 1997 |
| Langue | Français |
| Pays | France |
| État actuel | Actif |
| Jeux testés | 67 |
Tous les tests de jeuxvideo.com
Note originale : 17 / 20
85
Après une excellente campagne, Call of Duty Black Ops 6 signe un multijoueur et un Zombie tout aussi réussis. Il s’agit même des meilleurs modes en ligne depuis longtemps, portés par un nouveau système de déplacement qui vous collera à la peau. Tout, absolument tout a fait l’objet du soin des équipes de Treyarch, du gameplay aux cartes, en passant par le système de progression et bien sûr, le légendaire Zombie. Ça fait longtemps qu'on n'avait pas vu Call of Duty dans une telle forme, et ça fait super plaisir. Un épisode à ne pas manquer, c’est sûr.
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Note originale : 17 / 20
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Note originale : 17 / 20
Note originale : 17 / 20
85
Après une excellente campagne, Call of Duty Black Ops 6 signe un multijoueur et un Zombie tout aussi réussis. Il s’agit même des meilleurs modes en ligne depuis longtemps, portés par un nouveau système de déplacement qui vous collera à la peau. Tout, absolument tout a fait l’objet du soin des équipes de Treyarch, du gameplay aux cartes, en passant par le système de progression et bien sûr, le légendaire Zombie. Ça fait longtemps qu'on n'avait pas vu Call of Duty dans une telle forme, et ça fait super plaisir. Un épisode à ne pas manquer, c’est sûr.
Note originale : 17 / 20
85
On l’avait pressenti lors de notre prise en main en septembre dernier, Dragon Age : The Veilguard est aussi imparfait qu’il est très certainement l’un des meilleurs jeux de rôle de cette fin d’année. Dix ans après l’épisode Inquisition, le studio BioWare nous prouve qu’il a toujours un talent indéniable pour créer des personnages, leur donner vie et nous embarquer dans un monde riche et vivant. Pour autant, la construction de son scénario n’est pas révolutionnaire et son gameplay, aussi correct soit-il, risque de cliver la communauté. Fort heureusement, la plume, les sujets et les thématiques derrière ce quatrième chapitre en font une belle aventure. On y repensait souvent depuis septembre mais, après ce test, nous ne sommes pas près de l’oublier. Les attentes étaient peut-être trop importantes mais ça valait le coup d’attendre dix ans.
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Note originale : 17 / 20
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Note originale : 17 / 20
Note originale : 17 / 20
85
On l’avait pressenti lors de notre prise en main en septembre dernier, Dragon Age : The Veilguard est aussi imparfait qu’il est très certainement l’un des meilleurs jeux de rôle de cette fin d’année. Dix ans après l’épisode Inquisition, le studio BioWare nous prouve qu’il a toujours un talent indéniable pour créer des personnages, leur donner vie et nous embarquer dans un monde riche et vivant. Pour autant, la construction de son scénario n’est pas révolutionnaire et son gameplay, aussi correct soit-il, risque de cliver la communauté. Fort heureusement, la plume, les sujets et les thématiques derrière ce quatrième chapitre en font une belle aventure. On y repensait souvent depuis septembre mais, après ce test, nous ne sommes pas près de l’oublier. Les attentes étaient peut-être trop importantes mais ça valait le coup d’attendre dix ans.
Note originale : 17 / 20
85
Plus qu’un excellent solo, c’est une excellente expérience d’action-infiltration (et plus encore) que nous offre Call of Duty Black Ops 6. Voilà longtemps que la franchise n’avait pas surpris et innové à ce point - avec talent - pour sa campagne, et ça fait un bien fou. Bien sûr, le titre s’appuie aussi sur tout le savoir-faire de la franchise en matière de technique et de sensations, ce qui en fait un cocktail particulièrement savoureux… Il y a même du challenge intéressant au rendez-vous. Si on regrette une liberté d’approche pas toujours très organique, c’est certain, ce solo va vous surprendre et vous vous souviendrez longtemps de certaines missions.
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Note originale : 17 / 20
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Note originale : 17 / 20
Note originale : 17 / 20
85
Plus qu’un excellent solo, c’est une excellente expérience d’action-infiltration (et plus encore) que nous offre Call of Duty Black Ops 6. Voilà longtemps que la franchise n’avait pas surpris et innové à ce point - avec talent - pour sa campagne, et ça fait un bien fou. Bien sûr, le titre s’appuie aussi sur tout le savoir-faire de la franchise en matière de technique et de sensations, ce qui en fait un cocktail particulièrement savoureux… Il y a même du challenge intéressant au rendez-vous. Si on regrette une liberté d’approche pas toujours très organique, c’est certain, ce solo va vous surprendre et vous vous souviendrez longtemps de certaines missions.
Note originale : 16 / 20
80
En proposant cette formule de deux jeux en un, SEGA offre une belle locomotive au troisième film qui sortira en décembre prochain. Fidèle à lui-même, l’excellent Sonic Generations n’a rien perdu de sa superbe, même si les nouveautés sont trop légères pour être suffisamment marquantes dans les esprits. Quels Chao à retrouver dans les niveaux, de rares bonus inédits… on pouvait en attendre beaucoup plus d’un remaster. Heureusement, la partie dédiée à Shadow se veut plus ambitieuse, avec un mini monde ouvert à parcourir et des pouvoirs qui dynamisent l’expérience pour plusieurs heures de jeu supplémentaires. Sans être révolutionnaire, Sonic x Shadow Generations est un très bon jeu, mais qui aura, forcément, plus d’impact auprès de celles et ceux qui n’ont jamais touché à l’original.
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Note originale : 16 / 20
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Note originale : 16 / 20
Note originale : 16 / 20
80
En proposant cette formule de deux jeux en un, SEGA offre une belle locomotive au troisième film qui sortira en décembre prochain. Fidèle à lui-même, l’excellent Sonic Generations n’a rien perdu de sa superbe, même si les nouveautés sont trop légères pour être suffisamment marquantes dans les esprits. Quels Chao à retrouver dans les niveaux, de rares bonus inédits… on pouvait en attendre beaucoup plus d’un remaster. Heureusement, la partie dédiée à Shadow se veut plus ambitieuse, avec un mini monde ouvert à parcourir et des pouvoirs qui dynamisent l’expérience pour plusieurs heures de jeu supplémentaires. Sans être révolutionnaire, Sonic x Shadow Generations est un très bon jeu, mais qui aura, forcément, plus d’impact auprès de celles et ceux qui n’ont jamais touché à l’original.
Note originale : 16 / 20
80
Avec ce nouvel épisode du célèbre jeu de l’oie gavée aux hormones de Nintendo, vous viendrez pour les modes “Pro” ou “Classique” de Mario Party, vous resterez pour ses multiples autres propositions distrayantes, en solo comme en multi. Toujours aussi fun, plein à craquer de contenus et apportant des règles rafraîchies bienvenues, Super Mario Party Mario Party Jamboree prend enfin des risques alors que la série trottine dans sa zone de confort depuis 8 ans. Ici, le multi en ligne est plus que jamais encouragé, notamment avec le Koopathlon jouable jusqu’à 20 joueurs simultanément. Certes, il y a du très bon et du dispensable dans ce qu’il propose de faire, mais ce Jamboree est une très bonne pioche.
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Note originale : 16 / 20
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Note originale : 16 / 20
Note originale : 16 / 20
80
Avec ce nouvel épisode du célèbre jeu de l’oie gavée aux hormones de Nintendo, vous viendrez pour les modes “Pro” ou “Classique” de Mario Party, vous resterez pour ses multiples autres propositions distrayantes, en solo comme en multi. Toujours aussi fun, plein à craquer de contenus et apportant des règles rafraîchies bienvenues, Super Mario Party Mario Party Jamboree prend enfin des risques alors que la série trottine dans sa zone de confort depuis 8 ans. Ici, le multi en ligne est plus que jamais encouragé, notamment avec le Koopathlon jouable jusqu’à 20 joueurs simultanément. Certes, il y a du très bon et du dispensable dans ce qu’il propose de faire, mais ce Jamboree est une très bonne pioche.
Note originale : 16 / 20
80
Après le sublime Gris, Nomada Studio est de retour avec un jeu d’action-aventure qui, sous ses airs de fable écologique avec une jeune femme et son loup, porte en réalité un propos bien plus lourd. Et on a aimé la manière dont Neva nous a pris de court. Le dernier bébé de l’équipe espagnole revient en plus avec une superbe direction artistique, où la nature pleine de détails contraste avec le “vide” de certains passages, empreints d’un surréalisme qui fait écho à Gris… Dans Neva, Nomada propose également - pour la première fois - des phases d’action-aventure et s’en sort plus que bien. Les démons qu’Alba doit affronter donnent lieu à des phases d’action prenantes, bien mises en scène, où règne une certaine tension (sans jamais verser dans un challenge excessif). Une très belle aventure qu’on vous recommande.
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Note originale : 16 / 20
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Note originale : 16 / 20
Note originale : 16 / 20
80
Après le sublime Gris, Nomada Studio est de retour avec un jeu d’action-aventure qui, sous ses airs de fable écologique avec une jeune femme et son loup, porte en réalité un propos bien plus lourd. Et on a aimé la manière dont Neva nous a pris de court. Le dernier bébé de l’équipe espagnole revient en plus avec une superbe direction artistique, où la nature pleine de détails contraste avec le “vide” de certains passages, empreints d’un surréalisme qui fait écho à Gris… Dans Neva, Nomada propose également - pour la première fois - des phases d’action-aventure et s’en sort plus que bien. Les démons qu’Alba doit affronter donnent lieu à des phases d’action prenantes, bien mises en scène, où règne une certaine tension (sans jamais verser dans un challenge excessif). Une très belle aventure qu’on vous recommande.
Note originale : 18 / 20
90
Plutôt que de révolutionner la formule de Persona 5, Metaphor ReFantazio l'affine pour offrir un voyage mémorable et addictif tant on a du mal à lâcher la manette. Dans cet univers de fantaisie baroque, Metaphor se démarque tout de même de son prédécesseur par la richesse de son gameplay, sa direction artistique originale et son message plus politique que jamais. Mais surtout, le nouveau titre du trio Hashino-Soejima-Meguro a des allures d'aboutissement de la formule Persona par sa maîtrise du rythme et ses ajouts de confort de vie comme ses combats en temps réel. Il en résulte l'un des meilleurs jeux de rôle de 2024 qui a tout pour être le Persona 6 qui ne dit pas son nom que l'on attendait depuis huit ans.
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Note originale : 18 / 20
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Note originale : 18 / 20
Note originale : 18 / 20
90
Plutôt que de révolutionner la formule de Persona 5, Metaphor ReFantazio l'affine pour offrir un voyage mémorable et addictif tant on a du mal à lâcher la manette. Dans cet univers de fantaisie baroque, Metaphor se démarque tout de même de son prédécesseur par la richesse de son gameplay, sa direction artistique originale et son message plus politique que jamais. Mais surtout, le nouveau titre du trio Hashino-Soejima-Meguro a des allures d'aboutissement de la formule Persona par sa maîtrise du rythme et ses ajouts de confort de vie comme ses combats en temps réel. Il en résulte l'un des meilleurs jeux de rôle de 2024 qui a tout pour être le Persona 6 qui ne dit pas son nom que l'on attendait depuis huit ans.
Note originale : 16 / 20
80
Plus de 17 ans après Budokai Tenkaichi 3, Sparking Zero reprend les forces de son aîné pour aller encore plus loin. Avec la générosité de son casting, la qualité de ses effets et la mise en scène impressionnante de ses coups, le jeu excelle dans son fanservice. Mais surtout, le titre se démarque par son gameplay aussi technique que ses prédécesseurs qui offre à la fois une vraie marge de progression et un fun instantané grâce à ses options d'accessibilité. Dommage que les combats soient un peu gâchés par des soucis de lisibilité et de caméra. Dans le même temps, on peut reprocher au jeu son service minimum pour ses interfaces, ses cinématiques et son mode entraînement qui jurent avec le soin apporté au reste de l’expérience. Malgré tout, Sparking Zero a tout pour ravir les fans de Dragon Ball, même ceux qui veulent jouer en local qui vont devoir se contenter d'une seule arène pour le moment, car il est vraiment le Budokai Tenkaichi 4 que tout le monde attendait.
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Note originale : 16 / 20
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Note originale : 16 / 20
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80
Plus de 17 ans après Budokai Tenkaichi 3, Sparking Zero reprend les forces de son aîné pour aller encore plus loin. Avec la générosité de son casting, la qualité de ses effets et la mise en scène impressionnante de ses coups, le jeu excelle dans son fanservice. Mais surtout, le titre se démarque par son gameplay aussi technique que ses prédécesseurs qui offre à la fois une vraie marge de progression et un fun instantané grâce à ses options d'accessibilité. Dommage que les combats soient un peu gâchés par des soucis de lisibilité et de caméra. Dans le même temps, on peut reprocher au jeu son service minimum pour ses interfaces, ses cinématiques et son mode entraînement qui jurent avec le soin apporté au reste de l’expérience. Malgré tout, Sparking Zero a tout pour ravir les fans de Dragon Ball, même ceux qui veulent jouer en local qui vont devoir se contenter d'une seule arène pour le moment, car il est vraiment le Budokai Tenkaichi 4 que tout le monde attendait.
Note originale : 17 / 20
85
Replonger dans ce Silent Hill 2 totalement reconstruit par Konami, c’est comme retourner dans un village d’enfance cher à notre cœur des décennies plus tard, ou retomber sur une déclaration enflammée écrite par une personne avec qui les liens sont rompus… tout est là comme dans les souvenirs, mais tout est différent aussi. James Sunderland est de retour, accompagné de ses éternels démons. Si notre héros a des doutes quant à la nécessité de sa venue au cœur de la ville maudite, nous n’en avons plus : ce périple éprouvant est un rêve pour les fans, autant qu’il sera un cauchemar pour les autres. Au sein de cette histoire marquante dont on est le Éros (et Thanatos), les allers-retours infernaux aux confins des ténèbres – encore plus nombreux qu’en 2001 – laisseront les touristes sur le bord de la route. La Bloober Team a écrit une lettre d'amour avant tout destinée aux fans de Silent Hill 2. Une lettre au moins aussi puissante que celle adressée aux passionnés de survival-horror 23 ans plus tôt, rédigée par la Team Silent.
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Note originale : 17 / 20
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Note originale : 17 / 20
Note originale : 17 / 20
85
Replonger dans ce Silent Hill 2 totalement reconstruit par Konami, c’est comme retourner dans un village d’enfance cher à notre cœur des décennies plus tard, ou retomber sur une déclaration enflammée écrite par une personne avec qui les liens sont rompus… tout est là comme dans les souvenirs, mais tout est différent aussi. James Sunderland est de retour, accompagné de ses éternels démons. Si notre héros a des doutes quant à la nécessité de sa venue au cœur de la ville maudite, nous n’en avons plus : ce périple éprouvant est un rêve pour les fans, autant qu’il sera un cauchemar pour les autres. Au sein de cette histoire marquante dont on est le Éros (et Thanatos), les allers-retours infernaux aux confins des ténèbres – encore plus nombreux qu’en 2001 – laisseront les touristes sur le bord de la route. La Bloober Team a écrit une lettre d'amour avant tout destinée aux fans de Silent Hill 2. Une lettre au moins aussi puissante que celle adressée aux passionnés de survival-horror 23 ans plus tôt, rédigée par la Team Silent.
Note originale : 15 / 20
75
Diablo 4 : Vessel of Hatred est une bonne extension de Diablo 4. Elle ne révolutionne pas le jeu original comme l’avait fait Reaper of Souls en son temps avec Diablo 3 mais apporte de solides ajouts. La trame principale est toujours portée par une ambiance exceptionnelle dans laquelle on se sent immergée. La nouvelle classe fait des merveilles en termes de personnalisation et constitue la meilleure manière de jouer un gameplay dynamique et nerveux. Par ailleurs, les bas-fonds de Kurast constituent une nouvelle manière de monter en puissance de manière interactive. En somme, Vessel of Hatred profite des ajouts faits en saison 4 pour proposer un gameplay encore plus satisfaisant que précédemment. L’extension est l’excuse parfaite pour revenir sur le jeu pour ceux l’ayant délaissé dès sa sortie ou simplement ceux l'ayant mis de côté à l'époque. Elle risque toutefois d’être trop légère pour les vétérans qui en attendent peut-être plus côté nouveautés et personnalisation. Plus qu'un endroit où l'on se sent chez soi, Sanctuaire a aujourd'hui avec Vessel of Hatred une allure de parc d'attractions incontournables.
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Note originale : 15 / 20
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Note originale : 15 / 20
Note originale : 15 / 20
75
Diablo 4 : Vessel of Hatred est une bonne extension de Diablo 4. Elle ne révolutionne pas le jeu original comme l’avait fait Reaper of Souls en son temps avec Diablo 3 mais apporte de solides ajouts. La trame principale est toujours portée par une ambiance exceptionnelle dans laquelle on se sent immergée. La nouvelle classe fait des merveilles en termes de personnalisation et constitue la meilleure manière de jouer un gameplay dynamique et nerveux. Par ailleurs, les bas-fonds de Kurast constituent une nouvelle manière de monter en puissance de manière interactive. En somme, Vessel of Hatred profite des ajouts faits en saison 4 pour proposer un gameplay encore plus satisfaisant que précédemment. L’extension est l’excuse parfaite pour revenir sur le jeu pour ceux l’ayant délaissé dès sa sortie ou simplement ceux l'ayant mis de côté à l'époque. Elle risque toutefois d’être trop légère pour les vétérans qui en attendent peut-être plus côté nouveautés et personnalisation. Plus qu'un endroit où l'on se sent chez soi, Sanctuaire a aujourd'hui avec Vessel of Hatred une allure de parc d'attractions incontournables.
Note originale : 17 / 20
85
The Legend of Zelda : Echoes of Wisdom n’est pas une copie de seconde zone d'une aventure de Link. C’est bien un nouvel épisode de la saga à part entière qui a, en plus, la lourde tâche de passer après Breath of the Wild et Tears of the Kingdom tous deux considérés comme des chefs-d’œuvre. S’il est moins ambitieux et affiche une narration très en retrait, Echoes of Wisdom arrive à proposer un gameplay séduisant basé sur la réflexion. Il est habilement dissimulé par un univers toujours aussi riche aussi bien destiné aux amateurs de longue date de la série qu’aux nouveaux venus. C’est aussi par son contenu annexe qu’il brille, qui n’a pour nous de facultatif que le nom tant il pousse à la créativité. Avec Echoes of Wisdom, la légende de Zelda est bel et bien passée dans une nouvelle dimension avec un épisode réunissant l’ancien et le moderne avec brio. Il n'est, à n'en pas douter, l'incontournable jeu Nintendo de 2024.
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Note originale : 17 / 20
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Note originale : 17 / 20
Note originale : 17 / 20
85
The Legend of Zelda : Echoes of Wisdom n’est pas une copie de seconde zone d'une aventure de Link. C’est bien un nouvel épisode de la saga à part entière qui a, en plus, la lourde tâche de passer après Breath of the Wild et Tears of the Kingdom tous deux considérés comme des chefs-d’œuvre. S’il est moins ambitieux et affiche une narration très en retrait, Echoes of Wisdom arrive à proposer un gameplay séduisant basé sur la réflexion. Il est habilement dissimulé par un univers toujours aussi riche aussi bien destiné aux amateurs de longue date de la série qu’aux nouveaux venus. C’est aussi par son contenu annexe qu’il brille, qui n’a pour nous de facultatif que le nom tant il pousse à la créativité. Avec Echoes of Wisdom, la légende de Zelda est bel et bien passée dans une nouvelle dimension avec un épisode réunissant l’ancien et le moderne avec brio. Il n'est, à n'en pas douter, l'incontournable jeu Nintendo de 2024.
Note originale : 16 / 20
80
Grâce à sa proposition de course au prestige éliminatoire stimulante, Ara : History Untold est un ajout pertinent au genre du 4X, et peut se targuer de proposer des maquettes détaillées vraiment jolies, un système d'optimisation de l'artisanat très satisfaisant et un arbre de technologies non-linéaire plutôt dense. Dommage que la diplomatie soit aussi frustrante et que le concept montre quelques limites au bout d'une quinzaine d'heures de jeu déjà.
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Note originale : 16 / 20
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Note originale : 16 / 20
Note originale : 16 / 20
80
Grâce à sa proposition de course au prestige éliminatoire stimulante, Ara : History Untold est un ajout pertinent au genre du 4X, et peut se targuer de proposer des maquettes détaillées vraiment jolies, un système d'optimisation de l'artisanat très satisfaisant et un arbre de technologies non-linéaire plutôt dense. Dommage que la diplomatie soit aussi frustrante et que le concept montre quelques limites au bout d'une quinzaine d'heures de jeu déjà.
Note originale : 15 / 20
75
Si FC 24 avait quelque peu bousculé certaines choses en même temps que son nom, à commencer par le gameplay, FC 25 n'a pas du tout emprunté cette voie. L'apport considérable cette année se nomme Rush, une nouvelle façon de jouer en 5 contre 5 assez bien intégrée dans tous les modes de jeu à côté du classique foot à 11. Car même si le titre intègre le FC IQ, un nouveau système tactique et de placement pour les joueurs IA très intéressant en mode Carrière et Clubs pour les managers en herbe, le gameplay ne bouge presque pas d'un iota par rapport à la saison passée. Les haters du derniers opus risquent donc de passer leur chemin, sauf pour les amoureux de Kings League et de la Ligue 1. Ces derniers pourront se réjouir de voir de nombreux joueurs du championnat de France modélisés contrairement à l'année passée. Cocorico !
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Note originale : 15 / 20
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Note originale : 15 / 20
Note originale : 15 / 20
75
Si FC 24 avait quelque peu bousculé certaines choses en même temps que son nom, à commencer par le gameplay, FC 25 n'a pas du tout emprunté cette voie. L'apport considérable cette année se nomme Rush, une nouvelle façon de jouer en 5 contre 5 assez bien intégrée dans tous les modes de jeu à côté du classique foot à 11. Car même si le titre intègre le FC IQ, un nouveau système tactique et de placement pour les joueurs IA très intéressant en mode Carrière et Clubs pour les managers en herbe, le gameplay ne bouge presque pas d'un iota par rapport à la saison passée. Les haters du derniers opus risquent donc de passer leur chemin, sauf pour les amoureux de Kings League et de la Ligue 1. Ces derniers pourront se réjouir de voir de nombreux joueurs du championnat de France modélisés contrairement à l'année passée. Cocorico !
Note originale : 14 / 20
70
Il était une fois un petit héros qui, voulant se faire apprécier de tous, s’arrangea à la manière des seigneurs de son époque. Charmant comme un prince, il s’inventa des spécialités avec éloquence, “l’esprit aussi vif que le poing” promettait-il. Mais derrière ses traits avenants, notre aventurier eut bien du mal à cacher ses limites. “Cessez de vouloir enfler, sinon vous crèverez” lui lança une dame ayant vu clair dans son jeu. Ce jour-là, il comprit : à défaut de devenir un nouvel ambassadeur vénéré, il restera ce vaillant petit page estimé.
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Note originale : 14 / 20
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Note originale : 14 / 20
Note originale : 14 / 20
70
Il était une fois un petit héros qui, voulant se faire apprécier de tous, s’arrangea à la manière des seigneurs de son époque. Charmant comme un prince, il s’inventa des spécialités avec éloquence, “l’esprit aussi vif que le poing” promettait-il. Mais derrière ses traits avenants, notre aventurier eut bien du mal à cacher ses limites. “Cessez de vouloir enfler, sinon vous crèverez” lui lança une dame ayant vu clair dans son jeu. Ce jour-là, il comprit : à défaut de devenir un nouvel ambassadeur vénéré, il restera ce vaillant petit page estimé.
Note originale : 15 / 20
75
Décidément, le repos éternel n’existe pas quand on est un zombie conçu au sein des laboratoires de Capcom. À l’approche d’halloween, le groupe japonais fait revenir Frank West des limbes dans une version de Dead Rising plus belle, plus quali, mais un peu coupée (des photos érotiques). Cette édition Deluxe Remaster arrondit les angles d’un gameplay “so 2006” brut de décoffrage à grands coups de maillet. Le résultat a de quoi faire saliver les fans, à défaut de transformer les néophytes en mordus. Quoi qu’il en soit, Willamette a de beaux restes que vous allez aimer combattre.
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Note originale : 15 / 20
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Note originale : 15 / 20
Note originale : 15 / 20
75
Décidément, le repos éternel n’existe pas quand on est un zombie conçu au sein des laboratoires de Capcom. À l’approche d’halloween, le groupe japonais fait revenir Frank West des limbes dans une version de Dead Rising plus belle, plus quali, mais un peu coupée (des photos érotiques). Cette édition Deluxe Remaster arrondit les angles d’un gameplay “so 2006” brut de décoffrage à grands coups de maillet. Le résultat a de quoi faire saliver les fans, à défaut de transformer les néophytes en mordus. Quoi qu’il en soit, Willamette a de beaux restes que vous allez aimer combattre.
Note originale : 17 / 20
85
Alors qu'on avait ressenti un vrai bond en avant entre les opus 2022 et 2023, la progression est beaucoup moins fulgurante cette saison avec NBA 2K25. Seuls les joueurs les plus réguliers de la licence arriveront à voir certaines animations inédites et les fines nouveautés d''un gameplay pas révolutionnaire. Il n'en reste pas moins que le titre est largement au niveau de sa génération, et progresse enfin sur son matchmaking d'ordinaire bancal avec quelques parades (le mode Terrain d'Essai en ligne). Pour ceux qui découvrent le jeu, NBA 2K25 est une véritable mine d'or, avec un contenu solo encore agrandi avec l'ère Curry pour le mode Ma NBA et d'autres ajouts immersifs. L'ombre au tableau reste encore et toujours le système de micro-transaction (VC) en marquage individuel du portefeuille, indispensable pour progresser correctement.
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Note originale : 17 / 20
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Note originale : 17 / 20
Note originale : 17 / 20
85
Alors qu'on avait ressenti un vrai bond en avant entre les opus 2022 et 2023, la progression est beaucoup moins fulgurante cette saison avec NBA 2K25. Seuls les joueurs les plus réguliers de la licence arriveront à voir certaines animations inédites et les fines nouveautés d''un gameplay pas révolutionnaire. Il n'en reste pas moins que le titre est largement au niveau de sa génération, et progresse enfin sur son matchmaking d'ordinaire bancal avec quelques parades (le mode Terrain d'Essai en ligne). Pour ceux qui découvrent le jeu, NBA 2K25 est une véritable mine d'or, avec un contenu solo encore agrandi avec l'ère Curry pour le mode Ma NBA et d'autres ajouts immersifs. L'ombre au tableau reste encore et toujours le système de micro-transaction (VC) en marquage individuel du portefeuille, indispensable pour progresser correctement.
Note originale : 11 / 20
55
On l'aurait davantage imaginé en free-to-play, ce Quidditch Champions. Plutôt fidèle à l'univers en termes de direction artistique, le jeu a au moins le mérite de repenser correctement les règles du sport sur balais pour les rendre bien plus justes à l'écran. En revanche, les postes sont cruellement inégaux, les matchs franchement chaotiques et le jeu s'essouffle au bout de quelques heures à peine. Unbroken Studios a encore besoin d'opérer de nombreux ajustements pour faire de son expérience un incontournable du Quidditch.
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Note originale : 11 / 20
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Note originale : 11 / 20
Note originale : 11 / 20
55
On l'aurait davantage imaginé en free-to-play, ce Quidditch Champions. Plutôt fidèle à l'univers en termes de direction artistique, le jeu a au moins le mérite de repenser correctement les règles du sport sur balais pour les rendre bien plus justes à l'écran. En revanche, les postes sont cruellement inégaux, les matchs franchement chaotiques et le jeu s'essouffle au bout de quelques heures à peine. Unbroken Studios a encore besoin d'opérer de nombreux ajustements pour faire de son expérience un incontournable du Quidditch.
Note originale : 18 / 20
90
Avant la sortie de la PS5 Pro, vous allez devenir pro-PS5 ! Version longue et débridée d’Astro’s Playroom, hommage ultime à la planète PlayStation et aux licences qui gravitent autour, Astro Bot est un jeu de plateforme 3D d’exception même s’il innove peu. Beau, fluide, varié, parfaitement maniable et doté d’un plaisir arcade maîtrisé, il est d’une générosité et d’une finition exemplaires. La Team Asobi, en faisant du fun son mantra, quitte les playrooms expérimentales pour rejoindre la cour des grands.
jeuxvideo.com
Note originale : 18 / 20
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Note originale : 18 / 20
Note originale : 18 / 20
90
Avant la sortie de la PS5 Pro, vous allez devenir pro-PS5 ! Version longue et débridée d’Astro’s Playroom, hommage ultime à la planète PlayStation et aux licences qui gravitent autour, Astro Bot est un jeu de plateforme 3D d’exception même s’il innove peu. Beau, fluide, varié, parfaitement maniable et doté d’un plaisir arcade maîtrisé, il est d’une générosité et d’une finition exemplaires. La Team Asobi, en faisant du fun son mantra, quitte les playrooms expérimentales pour rejoindre la cour des grands.
Note originale : 17 / 20
85
Avec The War Within, World of Warcraft s’offre une troisième jeunesse. Comme Cataclysm en son temps, elle modernise la formule du MMORPG dans un milieu très concurrentiel. Pas de révolution majeure, mais une amélioration en épaisseur des fondations mises en place par Dragonflight : c'est de cette manière que The War Within brille. De quoi attendre les prochaines mises à jour, et bien sûr les deux autres extensions de la saga, avec une impatience inédite.
jeuxvideo.com
Note originale : 17 / 20
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Note originale : 17 / 20
Note originale : 17 / 20
85
Avec The War Within, World of Warcraft s’offre une troisième jeunesse. Comme Cataclysm en son temps, elle modernise la formule du MMORPG dans un milieu très concurrentiel. Pas de révolution majeure, mais une amélioration en épaisseur des fondations mises en place par Dragonflight : c'est de cette manière que The War Within brille. De quoi attendre les prochaines mises à jour, et bien sûr les deux autres extensions de la saga, avec une impatience inédite.
Note originale : 17 / 20
85
Saber Interactive et Focus Home Entertainment frappent fort, très fort. Space Marine 2 est un petit bijou d’adaptation destiné aux fans de la saga Warhammer 40.000 et aux amateurs d’action vidéoludique débridée. Cet univers de science-fiction est sublimé par des visuels léchés et captivants ainsi qu’un gameplay impressionnant autant dans sa précision que dans sa brutalité. Et le meilleur reste à venir. Les modes PvE et PvP garantissent une durée de vie exemplaire tout comme la personnalisation des Space Marines qui est un modèle du genre. Space Marine 2 aurait pu être parfait sans ce sentiment de répétitivité qui s’installe après plusieurs heures de jeu, mais qui laisse place au fun en compagnie d’autres joueurs.
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Note originale : 17 / 20
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Note originale : 17 / 20
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85
Saber Interactive et Focus Home Entertainment frappent fort, très fort. Space Marine 2 est un petit bijou d’adaptation destiné aux fans de la saga Warhammer 40.000 et aux amateurs d’action vidéoludique débridée. Cet univers de science-fiction est sublimé par des visuels léchés et captivants ainsi qu’un gameplay impressionnant autant dans sa précision que dans sa brutalité. Et le meilleur reste à venir. Les modes PvE et PvP garantissent une durée de vie exemplaire tout comme la personnalisation des Space Marines qui est un modèle du genre. Space Marine 2 aurait pu être parfait sans ce sentiment de répétitivité qui s’installe après plusieurs heures de jeu, mais qui laisse place au fun en compagnie d’autres joueurs.